Nahila n’aurait jamais dû se retrouver dans la prison pour changelin de Lord Arthus, et pourtant, elle y est. Et pas dans n’importe quelle cellule, apparemment peu soucieux de son bien-être, ses geôliers l’ont balancé dans la cage d’une très dangereuse panthère.
Sauf que Nahila est une biche.
Tarik est dans le Zoo depuis si longtemps qu’il a cessé de compter le temps qui passe. Lord Arthus le détient dans l’espoir de le faire avouer les plans de la rébellion changelin qui tente de renverser son pouvoir. Mais il ne compte pas avouer quoi que ce soit, même sous la torture.
Tarik a une mission, et avoir une petite biche effrayer dans ses pattes n’en fait pas partie.
Nahila veut survivre, même si pour ça il lui faudra se frotter à un très dangereux prédateur.
Dès lors, une terrible obsession les attire l’un vers l’autre malgré leur différence.
Une proie et un prédateur ne sont pas faits pour s’aimer.
Lilith et Hunter sont opposés. Ça fait des années qu’ils contiennent leur lien, chacun de leur côté, afin de survivre au Zoo, la prison illégale pour changelin de Lord Arthus.
Enfin, ils ont réussi à en sortir, mais une partie de leur être y est resté enfermé à jamais.
Hunter et Lilith sont brisés, en morceau, et leur relation semble vouée à l’échec avant même d’avoir eu la chance d’ouvrir ses ailes.
Lilith est une renarde, Hunter un jaguar.
Ils se cherchent, ils se tournent autour, mais alors qu’ils tentent ensemble de panser leur blessure, ils sont très vite rattrapés par leur passé respectif, qui pourrait bien les séparer pour de bon.
Lance est dangereux. Dangereusement séduisant. Louise en a parfaitement conscience et c’est pour cette raison que la jeune Jaguar s’est méticuleusement tenue à l’écart du Puma depuis qu’elle a rejoint la Meute Athos, l’été précédent. De Lance, mais aussi de tous les autres mâles blessés qui la composent.
Désormais résigné à ce que Hunter, l’autre Jaguar de la meute, ne l’aime jamais, Louise n’a plus le choix. Pour perpétuer son espèce, il faut qu’elle se trouve un compagnon Jaguar, et ce n’est pas à Jaykam qu’il se cache. Décidé à reprendre son errance, c’était sans compter ses très encombrants compagnons de meute, buté et bourré de testostérone, qui refuse de la laisser partir seule. Et comme par hasard, Lance se désigne pour l’accompagner dans son voyage – comme si c’était qu’une phase qui lui passerait !
Louise est déterminée à ne pas céder à l’attraction qu’exerce ce Puma curieux sur elle. Lance n’est pas faite pour elle, il est trop… intense et passionné. Et sa mère le lui a assez répété :
Lorsqu’on cède à la passion, ça ne se finit jamais bien.
Cassandra A’Canda est au bord du précipice. Elle vient d’être virée par son patron macho, son propriétaire la menace d’expulsion et son ex l’a prévenue, si elle ne se reprend pas rapidement, il lui retirera la garde de leur fils. La jeune humaine doit retrouver du travail, mais ce n’est pas une mince affaire lorsqu’on est mère célibataire et femme dans un monde profondément sexiste.
Alors quand Nikolai Berserk, ours immense et terrifiant, lui propose de décorer la maison de sa meute de parias en vue d’accueillir des petits, elle n’a pas le choix. Qu’importe que Nikolai provoque chez elle autant de peur que d’intérêt et ne cesse de la bousculer, elle a besoin de ce travail.
Nikolai n’attend rien de la vie. Rescapé comme les membres de sa meute du Zoo illégale de Lord Arthus, il fait sa part, mais ne s’investit pas plus. Constamment de mauvaise humeur, il met ses capacités au service de la meute pour construire leur lieu de vie, mais quand on lui demande de décorer et de rendre la maison sécurisée pour des enfants, il vrille. Quel genre de meute de changelins brisé a comme idée de pondre des petits ? Il ne comprend pas, et il n’a surtout aucune envie de décorer quoi que ce soit. Alors quand Kana lui suggère une petite humaine du nom de Cassandra, décoratrice d’intérieur, pour faire le job à sa place, il n’hésite pas, quitte à devoir frapper à sa porte tous les matins pour qu’elle achève vite et bien ce travail.
Nikolai voit bien qu’il la terrifie, et ça lui va très bien, que Cassandra n’essaye pas de s’approcher de lui où il lui montra pourquoi les ours sont les plus grands prédateurs de la forêt.
Forcé de collaborer, il se pourrait bien qu’une étincelle s’allume entre eux, mais une humaine a-t-elle vraiment sa place dans une meute de changelins, dans ces temps troublés pour leurs deux espèces ?